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Equipe Publication

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The electricity demand for the Kamoa-Kakula copper complex in Lualaba province, operated by Kamoa Copper SA, is projected to rise significantly in the coming years. According to projections published by its developer Ivanhoe Mines, total demand will reach 347 MW by December 2028, up from 208 MW in December 2025.

The figures come from an internal projection table included in a Nov. 25 statement announcing the commissioning of the rehabilitated turbine No. 5 at the Inga II dam. They differ from the forecasts Ivanhoe Mines presented last April.

The site began receiving an initial 50 MW from the dam, which has an installed capacity of 178 MW, on Nov. 10, the statement said. This power supply will gradually increase to 100 MW in the first quarter of 2026 and to around 150 MW in 2027 as optimizations to the Inga-Kolwezi grid are completed.

A $450 million investment is expected to bring the national utility Snel's contribution to the complex's power supply to 210 MW by the end of 2027. In addition to this capacity, Kamoa Copper SA plans to maintain 100 MW of electricity imports, supplemented by 60 MW from two on-site solar projects under development. The company said this gives it a supply of clean energy that exceeds its needs, cementing its status as a copper producer with one of the lowest greenhouse gas emissions in the industry.

The statement did not explain the projections in detail. But the numbers indicate the site is not expected to reach its high-production scenario before 2028. According to Ivanhoe Mines documentation, that scenario corresponds to an energy demand exceeding 300 MW, involving the simultaneous operation of three concentrators, the full ramp-up of the electric smelter, and the metallurgical optimization of "Project 95." This would yield an annual production of nearly 550,000 to 600,000 tons of copper concentrate.

This implies that the electric smelter, commissioned on Nov. 21 after several delays, will only operate at its rated capacity of 500,000 tons of concentrate per year as 2028 approaches.

Following seismic activity in the Kakula underground mine, production forecasts and the smelter ramp-up schedule have been withdrawn pending a re-evaluation. Kamoa Copper SA has since lowered its 2025 production forecast to between 370,000 and 420,000 tons, down from an initial range of 520,000 to 580,000 tons. Forecasts for future years and a definitive smelter ramp-up schedule are still pending.

The commissioning of the Kamoa-Kakula smelter, described as the largest and most modern in Africa, is a strategic milestone for the Congolese economy. It allows the country to transition from exporting concentrate to exporting copper metal, increasing the value captured locally, fiscal revenues, industrial development, and the DRC's influence in the global copper supply chain.

Pierre Mukoko

L’entreprise Embed Financial Group Holdings (EFGH), basée à Singapour, a annoncé avoir signé, le 20 novembre, un accord-cadre de services avec la Régie de distribution d’eau (REGIDESO SA) visant à accélérer la transformation numérique de l’entreprise publique, notamment en modernisant le recouvrement des recettes auprès des ménages et des entreprises.

Selon l’annonce, la REGIDESO et EFGH développeront ensemble des canaux numériques sécurisés pour le paiement des factures, des dispositifs de protection ainsi que de nouveaux outils financiers destinés à simplifier, accélérer et rendre les paiements plus accessibles au public. L’objectif affiché est clair : faciliter et tracer les paiements, renforcer la transparence, accroître la confiance des investisseurs et, à terme, permettre à la REGIDESO de lever des capitaux pour financer sa modernisation.

La REGIDESO propose déjà des solutions de paiement digital à ses abonnés. D’après les informations publiées sur son site et ses canaux officiels, il est possible de régler ses factures via une application mobile disponible sur App Store et Google Play, ou encore via le site web de l’entreprise. À ce stade, ces services couvrent 11 provinces sur les 26 que compte la RDC. Pour les abonnés ne disposant pas d’accès à Internet, un code USSD est également disponible, permettant une utilisation simple depuis n’importe quel téléphone mobile.

Du côté d’EFGH, l’entreprise singapourienne se présente comme spécialiste des paiements numériques, des plateformes financières et de la conception d’écosystèmes digitaux. Elle affirme opérer dans plusieurs pays africains, dont le Ghana où elle a annoncé, le 29 octobre dernier, une joint-venture avec la Ghana’s District Assemblies Common Fund (DACF). Ce partenariat porte sur le développement d’une « Finternet », une infrastructure financière numérique destinée à connecter gouvernements, populations et entreprises. Selon EFGH, cette Finternet reliera paiements, crédit et assurance de la même manière qu’Internet relie l’information, afin de permettre aux districts ghanéens de gérer plus efficacement les fonds et les services publics, tout en créant de nouvelles sources de revenus pour le développement national.

Timothée Manoke.

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La demande d’électricité du complexe cuprifère Kamoa-Kakula, situé dans la province du Lualaba et opéré par Kamoa Copper SA, devrait augmenter de manière significative dans les prochaines années. Selon les projections publiées par son développeur Ivanhoe Mines, la demande totale atteindra 347 MW en décembre 2028, contre 208 MW en décembre 2025.

Ces chiffres proviennent d’un tableau de projection interne repris dans le communiqué du 25 novembre 2025 annonçant la mise en service de la turbine n°5 d’Inga II, réhabilitée par la Société nationale d’électricité (Snel) avec l’appui de Kamoa Copper. Ils diffèrent des prévisions qu’Ivanhoe Mines avait présentées en avril dernier.

Selon ce communiqué, le site a commencé à recevoir, le 10 novembre dernier un premier lot de 50 MW en provenance de cette infrastructure d’une capacité installée de 178 MW. Cette puissance doit progressivement augmenter pour atteindre 100 MW dès le premier trimestre 2026, puis environ 150 MW en 2027, à mesure que les optimisations du réseau Inga–Kolwezi seront finalisées.

Offre et demande énergétique du complexe Kamoa-Kakula (2025-2028)

1 TABLEAU

Cet investissement — évalué à 450 millions de dollars — devrait porter à 210 MW la contribution nationale (Snel) à l’alimentation du complexe à fin 2027. Outre cette capacité, Kamoa Copper SA prévoit de maintenir 100 MW d’importations d’électricité, auxquels s’ajouteront 60 MW issus de deux projets solaires en développement sur le site. L’entreprise assure ainsi disposer d’une offre en énergie propre supérieure à ses besoins, consolidant son statut de producteur de cuivre aux émissions de gaz à effet de serre parmi les plus faibles de l’industrie.

Le communiqué n’explique pas en détail ces projections. Mais ces chiffres montrent que le site ne devrait pas atteindre son scénario de production élevé avant 2028. Selon la documentation d’Ivanhoe Mines, ce scénario correspond à une demande énergétique dépassant 300 MW, impliquant le fonctionnement simultané des trois concentrateurs, la montée en régime complète de la fonderie électrique et l’optimisation métallurgique du Projet 95 — soit une production annuelle proche de 550 000 à 600 000 tonnes de concentré de cuivre.

Mise en service de la fonderie

Cela implique que la fonderie électrique, mise en service le 21 novembre dernier après plusieurs reports, ne devrait fonctionner à sa capacité nominale de 500 000 tonnes de concentrés par an qu’à l’approche de 2028.

À la suite de l’activité sismique survenue dans la mine souterraine de Kakula, les prévisions de production et le calendrier de montée en puissance de la fonderie ont depuis été retirés dans l’attente d’une réévaluation. Kamoa Copper SA a depuis abaissé ses prévisions pour 2025 : la production est désormais attendue entre 370 000 et 420 000 tonnes, contre une fourchette initiale de 520 000 à 580 000 tonnes. Mais les prévisions pour les années à venir restent attendues, de même que le calendrier définitif de montée en régime de la fonderie.

La mise en service de la fonderie de Kamoa-Kakula — présentée comme la plus grande et la plus moderne d’Afrique — marque un tournant stratégique pour l’économie congolaise : elle permet au pays de passer de l’exportation du concentré à celle du cuivre métal, augmentant la valeur ajoutée captée localement, les recettes fiscales, le développement industriel et l’influence de la RDC dans la chaîne mondiale du cuivre.

Pierre Mukoko

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The North Kivu military governor's office in the Democratic Republic of Congo said on Tuesday that intercepted cocoa shipments, seized while attempting to cross the border illegally, will now be sold with the revenue used to build provincial infrastructure.

David Kamuha, chief of staff for the military governor, announced the policy during a ceremony presenting seized cocoa to provincial executives, according to a Nov. 25 publication from the governorship.

At the ceremony, control services presented a FUSO truck which Kamuha said was carrying fraudulent cocoa, along with 16 canisters supposedly containing palm oil but actually used to conceal cocoa destined for clandestine transport to Uganda.

The quantities currently held by provincial services were not revealed. However, available data illustrates the scale of the phenomenon. In early November, Kakule Justin, head of the National Office of Agricultural Products of Congo (ONAPAC) at the Kasindi border post, said 118 tons of cocoa had been intercepted in five months by control services.

He said smugglers operate mainly at night, using tracks that evade surveillance.

According to the official, the seized products mostly come from plantations in the Ruwenzori, Mutwanga and Bulongo sectors, areas with significant cocoa activity. The traders supplying these clandestine networks are seeking the slightly higher prices offered in Uganda, to the detriment of legal channels. This smuggling deprives the Democratic Republic of Congo of thousands of dollars in tax revenue, according to ONAPAC, while weakening the domestic cocoa market.

Timothée Manoke

Lors d’une cérémonie de présentation à l’exécutif provincial des lots de cacao saisis par les services de la province, David Kamuha, directeur de cabinet du gouverneur militaire, a annoncé que les cargaisons interceptées alors qu’elles tentaient de traverser illicitement la frontière seront désormais vendues. Les recettes de ces ventes seront affectées à la construction d’infrastructures dans la province. C’est ce qui ressort d’une publication du gouvernorat datée du 25 novembre 2025.

Au cours de cette cérémonie, les services de contrôle ont notamment présenté un camion de marque FUSO qui, selon le directeur de cabinet, transportait du cacao frauduleux, ainsi que 16 bidons censés contenir de l’huile de palme mais utilisés en réalité pour dissimuler du cacao destiné à être acheminé clandestinement vers l’Ouganda.

Même si les quantités actuellement détenues par les services provinciaux n’ont pas été révélées, les données disponibles illustrent l’ampleur du phénomène. Au début du mois de novembre, Kakule Justin, chef de bureau de l’Office National des Produits Agricoles du Congo (ONAPAC) au poste frontalier de Kasindi, indiquait que 118 tonnes de cacao avaient été interceptées en cinq mois par les services de contrôle. Il précisait que les fraudeurs opèrent essentiellement de nuit, empruntant des pistes échappant à la surveillance.

Selon ce responsable, les produits saisis proviennent majoritairement de plantations des secteurs de Ruwenzori, Mutwanga et Bulongo, zones où l’activité cacaoyère est importante. Les commerçants qui alimentent ces circuits clandestins recherchent les prix légèrement plus élevés proposés en Ouganda, au détriment des circuits légaux. Cette contrebande prive la République démocratique du Congo de milliers de dollars de recettes fiscales, selon l’ONAPAC, tout en fragilisant le marché intérieur du cacao.

Timothée Manoke

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European Commission President Ursula von der Leyen has outlined the European Union's priorities in the Democratic Republic of Congo, with clean energy production at the forefront, ahead of the EU-African Union summit in Angola on Nov. 24-25.

"With one of the fastest population growth rates in the world, the demand for electricity is increasing faster than existing infrastructure," the president of the European Commission said.

She said the EU is focusing its support on five major conservation areas, Garamba, Salonga, Virunga, Upemba and Yangambi, which she said hold significant potential for developing clean energy accessible to local communities.

Regarding electricity access in the Northeast, von der Leyen said the EU supports extending the grid to Kisangani and improving supply reliability to secure access for millions of Congolese.

The president also highlighted the "Green Corridor" initiative, integrated into the Global Gateway strategy. It plans to create a protected area of more than 544,000 square kilometers stretching from eastern DRC to Kinshasa, combining the preservation of primary forests, sustainable economic development and the creation of 500,000 jobs, some of which are intended for demobilized youth.

She also emphasized the role of the Lobito Corridor, which has become a central tool for supporting hydroelectric and solar projects, rural electrification and the reduction of regional emissions, in line with international climate commitments.

Finally, von der Leyen placed these actions in a broader continental framework by recalling the launch of the "Scaling Up Renewables in Africa" campaign with South Africa. This initiative mobilized 15.5 billion euros to support access to clean energy for the 600 million Africans who still lack it, with the ambition of creating sustainable economic opportunities.

Von der Leyen, who became the first woman to serve as European Commission president in 2019, is a former German minister and member of the CDU party who steers the EU's broad policy on energy, infrastructure and climate transition.

Boaz Kabeya

À la veille de l’ouverture du sommet Union européenne–Union africaine, tenu les 24 et 25 novembre 2025 Luanda en Angola, Ursula von der Leyen a présenté les priorités de l’Union européenne en République démocratique du Congo. En tête figure la production d’énergie propre. « Avec l’une des croissances démographiques les plus rapides au monde, la demande en électricité progresse plus vite que les infrastructures existantes », souligne la présidente de la Commission européenne.

Elle a indiqué que l’UE concentre son appui dans cinq espaces de conservation majeurs — Garamba, Salonga, Virunga, Upemba et Yangambi — qui constituent, selon elle, un important potentiel pour développer une énergie propre accessible aux communautés locales.

Concernant l’accès à l’électricité dans le Nord-Est, Ursula von der Leyen rappelle que l’UE soutient l’extension du réseau jusqu’à Kisangani ainsi que le renforcement de la fiabilité de l’approvisionnement, afin de sécuriser l’accès de millions de Congolais.

La présidente a également mis en avant l’initiative « Corridor vert », intégrée à la stratégie Global Gateway. Celle-ci prévoit la création d’une aire protégée de plus de 544 000 km² s’étendant de l’Est de la RDC à Kinshasa, conciliant préservation des forêts primaires, développement économique durable et création de 500 000 emplois, dont une partie destinée aux jeunes démobilisés.

Elle a aussi souligné le rôle du corridor de Lobito, devenu un outil central pour appuyer les projets hydroélectriques et solaires, l’électrification rurale et la réduction des émissions régionales, en cohérence avec les engagements climatiques internationaux.

Enfin, Ursula von der Leyen a replacé ces actions dans un cadre continental plus large en rappelant le lancement de la campagne « Scaling Up Renewables in Africa » avec l’Afrique du Sud. Cette initiative a permis de mobiliser 15,5 milliards d’euros afin de soutenir l’accès à l’énergie propre pour les 600 millions d’Africains qui en sont encore privés, avec l’ambition de créer des opportunités économiques durables.

Présidente de la Commission européenne depuis 2019, Ursula von der Leyen est la première femme à occuper ce poste. Ancienne ministre allemande et membre de la CDU, elle pilote les grandes orientations de l’Union européenne en matière d’énergie, d’infrastructures et de transition climatique.

Boaz Kabeya

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  • Heavy rains have rendered Tshikapa’s runway unusable since 22 November.
  •  A $400,000 pre-financing meant to launch rehabilitation works remains unaccounted for.
  • The shutdown threatens to further isolate the Kasaï region, already struggling with limited road access.

Tshikapa’s airport has halted all flights since 22 November after heavy rains severely damaged its runway, local authorities said on Wednesday. Kasaï Governor Crispin Mukendi Bukasa inspected the site and confirmed that “the runway is totally deteriorated and can no longer receive an aircraft.”

Mukendi said the rehabilitation project had been announced a year ago. The contractor received $400,000 in advance funding but did not start any work. “We want to know how this money was used. The works must begin immediately,” he said.

He stressed that the project aligns with the President’s plan to modernize the country’s aviation infrastructure, adding that Kasaï residents will no longer accept unjustified delays in public-works execution.

Tshikapa Airport is listed among the projects financed under the Sino-Congolese cooperation program. Several Congolese companies had been selected, but they failed to launch construction because the Sino-Congolese Infrastructure Company (SISC SA) required financial guarantees.

The Agency for the Supervision of Collaboration Agreements (APCSC) later asked BGFIBank to provide those guarantees. During an August 21 meeting, the bank reportedly agreed to back the companies involved.

The airport serves as a critical transport link for passengers and cargo in Kasaï, a region with already limited road access. Its closure threatens to intensify isolation, disrupt trade, block freight flows and hinder humanitarian operations.

This article was initially published in French by Boaz Kabeya

Adapted in English by Ange Jason Quenum

 

Depuis le 22 novembre 2025, la ville de Tshikapa est privée de trafic aérien après que la piste de son aéroport a été complètement détériorée par les récentes pluies. Sur place, le gouverneur de la province du Kasaï, Crispin Mukendi Bukasa, a constaté l’ampleur des dégâts : « la piste est totalement détériorée et n’est plus en mesure de recevoir un avion », a-t-il déclaré.

Selon le gouverneur, un projet de réhabilitation de cette infrastructure est annoncé depuis un an. Malgré un préfinancement de 400 000 dollars américains, l’entreprise chargée des travaux n’aurait rien entrepris. « Nous voulons savoir à quoi a servi cet argent. Les travaux doivent commencer immédiatement », a-t-il insisté.

Crispin Mukendi a rappelé que ce projet s’inscrit dans la vision du président de la République pour la modernisation des infrastructures aéronautiques et que la population du Kasaï n’entend plus tolérer des retards injustifiés dans l’exécution des travaux publics.

L’aéroport de Tshikapa figure pourtant parmi les infrastructures inscrites dans le programme sino-congolais, avec des chantiers confiés à plusieurs entreprises congolaises. Celles-ci n’avaient toutefois pas pu démarrer les travaux en raison des garanties exigées par la Société d’infrastructures sino-congolaise (SISC SA).

L’Agence de pilotage, de coordination et de suivi des conventions de collaboration (APCSC) avait alors sollicité l’appui de la BGFIBank pour permettre le lancement des chantiers. Lors d’une réunion tenue le 21 août 2025 avec les sociétés concernées, il avait été annoncé que la banque acceptait de se porter garante.

L’aéroport de Tshikapa constitue l’un des principaux points de liaison pour le transport de passagers et de marchandises dans le Kasaï, une région déjà confrontée à des difficultés d’accès routier. Sa fermeture risque d’isoler davantage la ville, perturbant le fret, le commerce et les services humanitaires.

Boaz Kabeya

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The provincial government of Kinshasa has issued a directive imposing new restrictions on motorized two-wheelers in the capital, local media reported.

The directive bans motorcycle taxis from operating or parking in the Gombe district, the city’s administrative and financial center. Only brief drop-offs and pick-ups are allowed on designated roads around the district, within clearly defined limits.

The notice says private motorcycles and those used for deliveries are still permitted, provided they are registered with the urban transport division and properly marked.

Three-wheelers carrying people or goods are now banned from several major roads, including Lumumba, Sendwe, 30 Juin and Triomphal boulevards, as well as Avenue des Poids Lourds, in an effort to reduce accidents and congestion.

The measures follow instructions issued on Sept. 19 during the Council of Ministers’ 59th meeting. President Felix Tshisekedi had called for stricter regulation of motorcycle taxis, including mandatory helmet use, registering all vehicles to improve traceability, and restricting their activity to outlying areas while banning them from the city center.

In February 2024, the Congolese National Police (PNC) also banned motorcycles from entering Gombe, but the measure is often ignored. At the Socimat intersection in the middle of the district, motorcycle taxis continue to operate openly.

Amid chronic traffic jams, unreliable public transport, poor roads and limited signage or enforcement, many Kinshasa residents rely on motorcycle taxis for their flexibility. A March 2025 study by Congolese firm Target SARL found that 71% of users now say motorcycle taxis are their main mode of transport, up from 67% in 2023.

Boaz Kabeya

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