The Democratic Republic of Congo (DRC) will soon asphalt some of its roads with recycled plastic waste. On March 13, 2025, the Congolese government sealed the related deal, a memorandum of understanding (MoU), with India's Thiagarajar College of Engineering. to pave roads using recycled plastic waste, a technique that has been successfully implemented in India for the past decade.
"The aim is to ensure an effective transfer of skills and equip the country with local expertise in smart, sustainable roads," the minister said.
According to Ève Bazaiba Masudi, the DRC’s Minister of State for the Environment and Sustainable Development, the project aligns with the DRC's five-year action program (2024-2028). Masudi added that the initiative will improve roads and tackle environmental issues caused by plastic pollution.
The DRC’s partner on the project, Thiagarajar College of Engineering, is located in Madurai, India. The college promotes research and innovation and develops sustainable technological solutions in collaboration with academic and industrial partners.
Under the agreement, the DRC will receive a license to operate and market this flexible pavement technology. Key national agencies, including the Office des Routes, the Office des Voiries et Drainage, and the Institut National du Bâtiment et des Travaux Publics, will be involved in testing and implementing the project.
This initiative comes at a critical time for the DRC, particularly for Kinshasa, where plastic waste management has long been a significant challenge. Previous efforts, including a 2015 European Union-supported project that established a plastic waste treatment plant and collection stations, have had limited success. In 2022, the American company Clean-Seas announced a $30 million investment in a thermal power plant in Kinshasa to convert plastic waste into energy products and electricity.
Ronsard Luabeya (intern)
Après plusieurs tentatives infructueuses, les présidents Félix Tshisekedi de la République Démocratique du Congo (RDC) et Paul Kagame du Rwanda se sont finalement rencontrés le 18 mars 2025 à Doha, à l’initiative de l’émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani.
Selon le communiqué conjoint publié à l’issue de cette rencontre, « les chefs d’État ont réaffirmé l’engagement de toutes les parties en faveur d’un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel », comme convenu lors du sommet conjoint des chefs d’État d’Afrique de l’Est (EAC) et australe (SADC) tenu en février à Dar es Salaam, en Tanzanie.
Ce cessez-le-feu n’a cependant jamais été appliqué. Une semaine après, les rebelles du M23 et leurs alliés, notamment les forces de défense rwandaises, ont pris le contrôle de la ville de Bukavu.
Selon le communiqué conjoint, « les chefs d’État se sont accordés sur la nécessité de poursuivre les discussions entamées à Doha afin d’établir des bases solides pour une paix durable, comme envisagé dans le processus de Luanda/Nairobi ». La rencontre de Doha a ainsi « contribué à renforcer l’engagement commun en faveur d’un avenir sûr et stable pour la République Démocratique du Congo et la région », précise la même source.
Cette rencontre redonne de l’espoir après l’annulation des pourparlers de paix sur la RDC, initialement prévus le même jour en Angola. La veille, le M23 avait annoncé son retrait de ces discussions en signe de protestation contre les sanctions imposées par l’Union européenne à certains de ses responsables le 17 mars, compromettant ainsi les chances de cette énième tentative de résolution du conflit à l’est de la RDC.
Félix Tshisekedi et Paul Kagame ne s’étaient plus rencontrés depuis le sommet de l’Union africaine en février 2024. À la mi-décembre, les deux chefs d’État devaient se retrouver à Luanda pour signer un accord, mais le sommet avait été annulé à la dernière minute.
Après plusieurs mois de tractations, l’Émir du Qatar est finalement parvenu à convaincre les deux dirigeants de se rencontrer. Il faut dire que, selon la porte-parole du président congolais, Tina Salama, le Qatar est considéré comme un « allié stratégique des deux pays ».
Le conflit dans l’est de la RDC, une région riche en ressources et frontalière du Rwanda, s’est intensifié ces derniers mois. Fin janvier, le M23, soutenu par l’armée rwandaise, a lancé une offensive, s’emparant en quelques semaines des villes de Goma et Bukavu.
Pierre Mukoko
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On March 17, 2025, in Berlin, the Democratic Republic of Congo (DRC) took a significant step toward expanding its energy infrastructure by signing a commercial contract with Germany’s Gauff Engineering. The agreement, valued at €150 million (approximately $165.5 million), covers the construction of 230 photovoltaic and mini-hydropower plants over the next four years, according to the ANSER, the Congolese agency for electrification in rural peri-urban areas.
While the related financing agreement is still pending and the identity of financial backers remains undisclosed, it is known that part of the funding is expected to come from Germany. According to the ANSER, this initiative is tied to a rural and peri-urban electrification program formalized during the German-African Energy Forum, which coincided with the contract signing. However, critical details such as the total capacity of the planned infrastructure, plant locations, and project start dates have yet to be revealed.
Headquartered in Nuremberg, Gauff Engineering specializes in complex infrastructure projects across water, energy, and transportation sectors. The company has a proven track record in Africa, including a project to electrify 300 villages in Senegal. Gauff’s expertise aligns with the ANSER’s mission to address energy access disparities in rural and peri-urban areas—regions often overlooked by private investors.
The ANSER was created in 2016 but began operating in 2020. Since then, it kicked off 53 projects and completed 22. By the end of 2025, it aims to increase energy production capacity to 30 megawatts (MW) and electrify approximately 459,330 households. Despite these efforts, rural electrification rates remain alarmingly low at just 1%, underscoring the urgency of scaling up initiatives like this one.
This article was initially published in French by Boaz Kabeya (intern)
Edited in English by Ola Schad Akinocho
The Democratic Republic of Congo (DRC) has officially announced the introduction of quotas on cobalt production and stockpiles accumulated during the four-month export suspension imposed in February 2025. Prime Minister Judith Suminwa Tuluka disclosed the decision during the Council of Ministers meeting on March 14, 2025.
According to meeting minutes, two types of quotas will be implemented: one for exports and another for local cobalt processing. However, details on volumes or enforcement mechanisms remain unclear, with officials instructed to act "swiftly and effectively."
The DRC is also “seeking collaboration with Indonesia, the world's second-largest cobalt producer with a 9.66% market share, to better control global supply and stabilize prices.” The DRC and Indonesia account for over 85% of global cobalt production, giving them significant leverage in shaping market dynamics.
Since the DRC paused its cobalt prices, prices have surged dramatically. Cobalt hydroxide recently hit $10.5 per pound, an 84% increase. However, experts warn that prices could plummet if exports resume without careful management, flooding the market with stockpiled supplies. The government claims these new measures aim to enforce the suspension effectively and prevent such a scenario.
The move has sparked controversy within the DRC. According to Africa Intelligence, a French media, the Fédération des Entreprises du Congo (FEC) opposes the pause, arguing it violates provisions of the Congolese Mining Code allowing operators to sell their products freely. On March 7, the FEC’s Chamber of Mines sent a letter to Mines Minister Kizito Kapinga Mulume proposing an ad hoc public-private commission to address issues stemming from the decision.
This article was initially published in French by Pierre Mukoko
Edited in English by Ola Schad Akinocho
Un contrat commercial a été signé le 17 mars 2025 à Berlin entre l’Agence nationale de l’électrification et des services énergétiques en milieux rural et périurbain (Anser) et l’entreprise allemande Gauff Engineering. Selon l’Anser, cet accord porte sur la construction de 230 centrales photovoltaïques et mini-centrales hydroélectriques, pour un coût de 150 millions d’euros (soit environ 165,5 millions de dollars au taux actuel), avec un délai de réalisation fixé à quatre ans.
Une convention de financement doit encore être signée pour concrétiser ce projet. Si l’identité des bailleurs de fonds n’a pas encore été précisée, au moins une partie du financement devrait provenir d’Allemagne. L’Anser indique que cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un programme de financement de l’électrification rurale et périurbaine, officialisé lors du Forum germano-africain sur l’énergie, dont la 18 ᵉ édition s’est tenue le même jour à Berlin.
Pour l’instant, peu de détails ont été communiqués sur le projet. La capacité totale des infrastructures, les sites d’implantation des centrales et la date de démarrage des travaux restent inconnus.
Gauff Engineering, qui revendique une expertise en infrastructures énergétiques, affirme avoir mené plusieurs projets d’électrification en Afrique, notamment un programme d’électrification de 300 villages au Sénégal.
Créée en 2016, l’Anser a pour mission d’assurer l’électrification des zones rurales et périurbaines, souvent délaissées par les acteurs privés. Depuis son opérationnalisation en 2020, l’agence publique affirme avoir lancé un total de 53 projets, dont 49 sont actuellement en cours d’exécution et 22 déjà achevés.
L’Anser prévoit de finaliser les projets restants d’ici fin 2025, ce qui devrait porter sa capacité de production énergétique à 30 mégawatts (MW) et permettre l’électrification d’environ 459 330 ménages. Malgré ces avancées, l’agence reconnaît que le taux d’électrification en milieu rural reste extrêmement faible, avoisinant toujours 1 %.
Boaz Kabeya, stagiaire
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C’est désormais officiel : la République Démocratique du Congo (RDC) a décidé d’instaurer des quotas sur la production de cobalt et les stocks accumulés à l’issue des quatre mois de suspension des exportations, décidée en février 2025. L’annonce a été faite par la Première ministre, Judith Suminwa Tuluka, lors du Conseil des ministres du 14 mars 2025.
Selon le compte rendu de cette réunion, ces quotas seront de deux types : l’un appliqué aux exportations et l’autre à la transformation locale du cobalt. Le document ne donne cependant pas plus de détails. On ignore donc les volumes concernés, ainsi que les modalités de mise en œuvre. On sait seulement que « les responsables concernés par ces actions ont été appelés à les implémenter avec célérité et efficacité ».
Par ailleurs, la RDC entend « obtenir la collaboration de l’Indonésie, autre grand producteur de cobalt, afin de mieux contrôler l’offre sur le marché mondial et, par conséquent, son prix ». L’Indonésie, qui détient 9,66 % des parts de marché, est le deuxième producteur mondial de cobalt. À elles deux, la RDC et l’Indonésie contrôlent plus de 85 % de la production mondiale.
Depuis la suspension des exportations de cobalt, les prix ont bondi sur le marché international. La semaine dernière, l’hydroxyde de cobalt a par exemple atteint 10,5 dollars la livre, soit une hausse de 84 %. Cependant, plusieurs experts estiment que cette tendance pourrait s’inverser si la reprise des exportations entraîne un afflux massif de cobalt sur le marché. Le gouvernement congolais affirme d’ailleurs que les nouvelles mesures visent à assurer un « encadrement efficient » de la suspension des exportations.
La réaction du marché et des acteurs locaux du secteur face à ces nouvelles mesures reste attendue. Mais, selon Africa Intelligence, la Fédération des entreprises du Congo (FEC) serait opposée à la suspension des exportations de cobalt. D’après le média français, la Chambre des mines de la FEC a même adressé un courrier au ministre des Mines, Kizito Kapinga Mulume, le 7 mars, dans lequel elle exprime ses griefs.
L’organisation patronale estime notamment que cette décision va à l’encontre des dispositions du Code minier congolais. Selon la FEC, ce texte, qui a une valeur juridique supérieure, garantit aux opérateurs la liberté de commercialiser leurs produits. Elle propose alors la création d’une commission ad hoc public-privé afin de résoudre les problèmes engendrés par cette décision.
Pierre Mukoko
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Pour renforcer la sécurité juridique des investissements et améliorer le climat des affaires en République démocratique du Congo (RDC), l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (Ohada) prévoit d’ouvrir un centre d’arbitrage à Kinshasa. L’annonce a été faite le 17 mars 2025 par le secrétaire permanent de l’Ohada, Mayata Ndiaye, lors d’une rencontre avec le vice-Premier ministre en charge du Plan, Guylain Nyembo.
« En ce qui concerne le climat d’investissement, l’échange a porté sur le projet de mise en place d’un bureau du centre d’arbitrage ici à Kinshasa. Nous sommes très heureux d’annoncer son appui pour la réalisation immédiate et urgente de ce projet, qui peut nous être utile non seulement pour les contrats d’investissement, mais aussi pour la gestion des contentieux liés à l’exploitation des ressources naturelles de la RDC », a-t-il déclaré.
L’ouverture de ce centre d’arbitrage a été décidée lors du 57 ᵉ conseil des ministres de l’Ohada, tenu à Dakar en août 2024, en réponse à une sollicitation du président de la RDC lors de la 56 ᵉ réunion.
En RDC, ce centre d’arbitrage devrait offrir aux opérateurs économiques une alternative efficace aux tribunaux étatiques pour la résolution des litiges commerciaux, dans un pays où la sécurité juridique demeure un véritable défi. Pour y remédier, les états généraux de la justice se sont tenus en novembre dernier. À cette occasion, le président de la République, Félix Tshisekedi, s’est engagé à « purger » la justice de tous ses « fléaux ». La mise en œuvre des recommandations issues de ce conclave de dix jours reste toutefois attendue.
En 2021, la RDC a été classée 183 ᵉ sur 190 dans le rapport Doing Business de la Banque mondiale. Ce classement mesurait la facilité de faire des affaires à travers plusieurs indicateurs, notamment la création d’entreprise, l’accès au crédit, le paiement des taxes et la protection des investisseurs.
Ronsard Luabeya, stagiaire
L’occupation des principales villes du Kivu par les rebelles du M23 et leurs soutiens des forces armées rwandaises a bouleversé le marché brassicole dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC), selon des témoignages concordants. Les pénuries et la hausse des prix des bières congolaises favorisent l’essor des produits importés du Rwanda et du Burundi.
À Bukavu, le prix d’une bouteille de bière Brasimba est passé de 3 500 à 8 000 francs congolais (FC), tandis qu’à Kiwanja, une Primus grand format se négocie entre 6 000 et 7 000 FC. À l’inverse, les bières rwandaises et burundaises, notamment Primus Rwanda et Amstel, restent plus abordables, oscillant entre 3 000 et 4 000 FC dans certaines buvettes de la commune de Karisimbi, à Goma.
Face à cette situation, les tenanciers de bars et terrasses s’approvisionnent de plus en plus dans les pays voisins pour maintenir leurs activités. Cette dynamique favorise les brasseries rwandaises et burundaises au détriment de la production locale, dont les capacités ont été fortement réduites par les pillages.
En février 2025, lors de l’entrée des rebelles du M23 à Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu, les entrepôts de la Bralima, l’une des principales entreprises brassicoles en RDC, ont été pillés. Ce saccage menace directement l’emploi de plus de 1 000 personnes, incluant les contractants et sous-traitants, qui risquent de perdre leur source de revenus et de se retrouver en difficulté pour subvenir aux besoins de leurs familles.
Ronsard Luabeya, stagiaire
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The Democratic Republic of Congo (DRC) will have 111 million city dwellers by 2050, up from 43.3 million in 2020. The Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD) made the forecast in its Report Dynamics of African Urbanization 2025. Releasd on March 6, 2025, the document was produced in partnership with the African Development Bank (AfDB), Cities Alliance, and UCLG Africa.
City dwellers could thus make up nearly 64% of the DRC’s population by 2050, against 47% in 2020, and 50% anticipated in 2025. The surge would make the DRC home to Africa’s third-largest urban population, trailing only Nigeria (250 million) and Egypt (147 million).
According to the OECD, Kinshasa, the capital, will not the only to experience the projected city rush. The report’s authors expect the DRC to host 17 major urban agglomerations by mid-century, second only to Nigeria’s 30
"The increase in the area of large urban agglomerations is expected to be particularly rapid in Central and West Africa, with most of the fastest-growing large agglomerations in the Democratic Republic of Congo and Burkina Faso," the report states.
The anticipated urban demographic explosion presents significant challenges for Congolese authorities. Access to basic public services such as water, electricity, education, and healthcare—will need to be scaled up dramatically. Infrastructure development, including roads and waste management systems, must also be prioritized to accommodate growing populations and ensure functional urban mobility.
However, the private sector could significantly profit from the dynamic, especially operators active in the housing, food, and transportation markets where city dwellers spend a lot.
This article was initially published in French by Espoir Olodo
.Edited in English by Ola Schad Akinocho
Le gouvernement envisage la création d’un programme d’accompagnement destiné aux exportateurs et producteurs congolais, a annoncé le 12 mars 2025 le ministre du Commerce extérieur, Julien Paluku, sur le réseau social X (anciennement Twitter). Selon lui, ce programme vise à permettre aux exportateurs de mieux tirer parti des accords commerciaux, notamment l’African Growth and Opportunity Act (AGOA) avec les États-Unis et l’accord commercial récemment signé avec la Chine.
« Nos producteurs et exportateurs congolais ont besoin de financements innovants pour renforcer leur capacité à conquérir ces marchés et ainsi améliorer notre balance commerciale », a déclaré le ministre du Commerce extérieur.
Le gouvernement souhaite associer la banque Equity BCDC, dont il détient 12,17 % des parts, à la mise en œuvre de cette initiative. À cet effet, Julien Paluku a échangé avec Hugues Efole, directeur groupe d’Equity en charge des paiements, des envois de fonds transfrontaliers et de la diaspora.. Il en est ressorti la création d’une commission technique réunissant des experts du ministère du Commerce extérieur et d’Equity BCDC pour concrétiser le projet.
Déjà engagée dans le soutien aux exportateurs, Equity BCDC propose des financements relais et accompagne les coopératives agricoles en finançant la collecte, la transformation et l’exportation, facilitant ainsi leur accès aux marchés internationaux.
En septembre 2024, le gouvernement congolais a adopté une stratégie nationale visant à dynamiser les exportations vers les États-Unis dans le cadre de l’African Growth and Opportunity Act (AGOA). Cette stratégie ambitionne de relancer 21 filières hors mines et 5 filières minières, avec pour objectif de faire passer le volume des échanges de 600 millions de dollars en 2021 à une fourchette comprise entre 3 et 5 milliards de dollars d’ici 2030.
Ronsard Luabeya, Stagiaire
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